TOUT SAUF YAYI BONI EN 2011: LA GUERRE DES FEMMES PREMIERES DAMES DE YAYI BONI

Publié le par LE JOURNAL DE L'OPPOSITION BENINOISE TSYB 2011

Nous n’avions jamais vécu cela au paravent ici chez nous au Bénin. Mais comme avec Yayi Boni on aura tout vu, ne nous en étonnons pas. Vous aviez tous vu comme moi sur les écrans des chaînes de télévision le Mardi 22 Septembre 2009 une marche effectuée par des femmes qui ont lu au ministère de la justice une motion dans laquelle elles attaquaient une certaine première dame autoproclamée qu’elles accusent d’être au cœur du scandale de la CENSAD. Les marcheuses se réclamaient de la mouvance présidentielle et disaient soutenir le Président Yayi Boni contre les manœuvres de sa première dame autoproclamée contre qui elles réclamaient des châtiments. Des questions se posent dès lors, à savoir :
1-     Combien de premières dames le Président Yayi Boni possède-t-il ?
2-     Qui est l’autoproclamée et qui ne l’est pas ?
3-     Pour le compte de qui les marcheuses marchaient-elles ?
4-     Qu’est-ce que les premières dames épouse de Yayi Boni ont à voir avec le scandale politico financier de la CENSAD ?
5-     Quel est le niveau d’implication des femmes du Président de la République dans la gestion des affaires et des caisses de l’Etat au point d’être dénoncées par des marches de protestation ?
Selon nos enquêtes, des histoires de plus en plus nourries se racontent au palais de la Marina et dans l’entourage même du Chef de l’Etat au sujet de ses multiples femmes qui se battent entre elles pour s’afficher comme Premières Dames. Certaines ne sont en réalité que des copines ou des maîtresses, mais gare à vous si vous ne savez pas vous plier à leurs exigences et leurs caprices. Le cabinet de Chantal YAYI est en permanence sur le pied  guerre tantôt contre l’une, tantôt contre l’autre et des scandales se multiplient que les services d’Etat mettent tout en œuvre pour étouffer. Dans cet embrouillamini gynéco-pésidentiel, trois épouses légitime, officielle ou officieuse s’illustrent, se livrant  une guerre sans merci. Il s’agit de la première femme épousée, la deuxième femme épousée, et de la demoiselle non épousée.
-    La Première Dame en titre et connue de tous comme telle est bien Chantal YAYI  DE SOUZA. Mais elle est également la deuxième dans l’ordre chronologique du mariage. Aussi se sent elle menacée en permanence par la mère des grands enfants du Président. De plus l’époux présidentiel qui ne crache pas sur les dames charnues déchaîne régulièrement la colère sur son officielle Première Dame lorsque cette dernière se fait emberlificoter par de nouvelle prétendante s’accrochant trop à la marchandise.
-    La Deuxième Dame en titre et Première dans l’ordre Chronologique du mariage est la réputée  AL HADJA. ; qui forte de ce qu’elle est la mère des grands enfants n’entend pas du tout se laisser pousser en arrière. C’est elle que les marcheuses traitaient de Première Dame Autoproclamée. C’est donc elle que ces marcheuses disaient mêlée au scandale de la CENSAD. Ce qui nous amène à en déduire que les marcheuses opéraient pour le compte de sa rivale officielle Chantal YAYI.
-    Enfin vient clôturer le bal, l’officieuse devenue MINISTRE et qui hier s’était illustrée à la tête de la société civile par la confusion militantisme sexualité, au point de fabriquer un bébé que la rumeur publique dit présidentiel. On l’appelle officieusement la Troisième Dame.
Les histoires de fesses ont copieusement embrouillé la République sous YAYI BONI. Mais lorsque au-delà des frasques présidentielles des jupons qui nous gouvernent, les premières dames envoient publiquement leurs sbires marcher dans la rue pour se dénigrer les unes les autres, nous sommes en droit de craindre que fesses et billets de banque soient devenue le Programme de Gouvernement et que le Gouvernement Ventilateur soit aussi un Gouvernement de Concupiscence ou disons simplement un Gouvernement Matelas. 

PAR LE PROFESSEUR ANDOCHE AMEGNISSE

Publié dans Editorial

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E
<br /> Dommage que Yayi Boni et la plupart des barons du régime soient des comme des obsédés sexuels. Il se raconte que leurs bureaux soient devenus des chambres de passage pour prostituées en quête de<br /> billets de banque. Quand vous allez à l'hôtel BYMINS à Porto Novo, vous verrez que le propriétaire de ce centre, ministre de son état, y a attribué une chambre à une jeune togolaise qu'elle<br /> entretient à Cotonou. Sans oublier qu'il entretient une autre fille, directrice de Radio wêkê, etc. Quelle honte, avec ces vieux obsédés sexuels !!!<br /> <br /> <br />
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