UN PRESIDENT QUI BOIT TROP ET SE SOÛLE NE PEUT PAS DIRIGER NOTRE PAYS (YAYI BONI : UN PRESIDENT QUI BOIT TROP ET SE SOULE LA GUEULE)

Publié le par LE JOURNAL DE L'OPPOSITION BENINOISE TSYB 2011

C’est une honte pour notre pays le Bénin. On dit à travers le monde et dans les ambassades que notre Président boit trop et se soûle trop souvent la gueule au point de s’endormir en pleine réunion. Pire, il prend ses décisions en état d’ivresse, mettant son gouvernement en difficulté et le pays dans des situations gravement dangereuses.. Un homme soûl n’a pas la mesure du danger. Il fait n’importe quoi n’importe comment. Tout le monde le sait. Voilà pourquoi les gens sérieux et responsables évitent de trop boire et de se soûler. Mais Yayi Boni préfère la boisson à ses devoirs de Président. Et lorsqu’il a trop bu et est mal en point, il n’assiste pas aux Conseils des Ministres. La République est donc dirigée par un Président ivrogne, un buveur véritable papier buvard. Le Bénin ne mérite pas cela. Notre peuple en votant pour le CHANGEMENT  en 2006 ne savait pas qu’il tomberait si bas. Quand Yayi Boni a bien bu, il cherche à détruire tout sur son passage. Il peut ordonner l’interdiction d’une manifestation de l’opposition et envoyer l’IGE à la Bourse du Travail pour menacer les syndicalistes. Il peut ordonner au Directeur de l’ORTB de ne jamais recevoir les opposants sur le plateau. Il peut limoger  un ministre qu’il décidera de réintégrer le lendemain. Il peut prendre le téléphone, appeler ses collègues Chefs d’Etats et leur demander d’enlever BIO TCHANE de la BOAD parce qu’il sera candidat contre lui en 2011. Il peut appeler le Ministre des Finances et lui demander deux milliards tout de suite parce qu’il a décidé le jour même d’aller en visite officielle chez KHADAFI en Libye. D’ailleurs, avez vous jamais entendu un Président de la République vraiment lucide venir déclarer à la télévision que lui il n’assiste pas aux Conseils des Ministres, alors que la Constitution qu’il a juré de respecter établit qu’il doit présider les Conseils des Ministres ? Un Président de la République ayant l’esprit clair et la tête su les épaules peut il distribuer l’argent dans les églises, les couvents et les mosquées, donner cinq cent millions aux chrétiens pour Pâques, cinq cent millions aux musulmans pour Ramadan, cinq cent millions aux Chefs Traditionnels, Cent millions à un Etat voisin sinistré et quelques jours après, face aux inondations qui frappent son pays, dire que l’Etat n’a pas d’argent et appelé les transitaires pour leur demander de l’argent ? Quel est ce Président imprévoyant qui vide si facilement les caisses sans se soucier du lendemain si ce n’est pas un Président saoulard ?   Un Président qui boit tant peut-il composer un bon gouvernement ? A Président buveur, Gouvernement Ventilateur. Improvisation et navigation à vue du gouvernement ne sont que les signes visibles du zigzag de l’ivrogne présidentiel. Les forcing qui menacent la paix sociale à chaque élection ? C’est la soûlardise du Chef de l’Etat prêt à tuer si on ne le laisse pas gagner à tout prix.  Tantôt Yayi attaque ses prédécesseurs et le lendemain il veut se réconcilier avec eux ? C’est l’ivrognerie d’un Président qui ne respecte plus personne quand il soûl. Yayi envoie Andoche AMEGNISSE en prison et peu après il lui propose de l’argent pour se taire? C’est la beuverie d’un Chef d’Etat qui considère ses opposants comme des gens à éliminer à tout prix. Yayi promet six cent milles tonnes de coton le jour de son investiture alors que tout le monde sait que le Bénin ne pouvait même pas en produire la moitié ? Ce sont là les promesses d’un saoulard qui croit pouvoir décrocher la lune en tendant la main. Les distributions d’argent à tous ceux qui viennent chanter des louanges à Yayi le Président ? C’est la béatitude de l’esprit imbibé d’alcool et incapable de faire la différence entre la flatterie et la vérité. Les effluves du Whisky siroté avec une pipette plongée dans la bouteille ont toujours des effets dévastateurs sur le comportement d’un dirigeant. Alors vous savez à présent ce qu’il advient d’un pays lorsqu’un ivrogne le gouverne. Yayi Boni qui gouverne actuellement notre pays nous en donne la vilaine preuve. Il vous suffit de regarder cette photo d’un dirigeant ivre et dormant à une manifestation. 

Par Génération Mathieu KEREKOU

Publié dans Les Gros dossiers

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
<br /> A mettre à la Une et à conserver à la Une.<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> laisse la elle mange aussi le pays elle ne fait ke défendre ses intérèts. on ne préche ke pour son église<br /> <br /> <br />
Répondre
P
<br /> Ma très Chère compatriote Madame Josiane (Si tant il était vrai que vous existez et que vous n'êtes pas une fausse identité)<br /> Je comprends votre position complettement contraire à celle que défend l'opposition TSYB-2011 dont je suis le LEADER. Voyez-vous, nous autres nous luttons pour préserver les libertés démocratiques.<br /> C'est pour cela que nous acceptons que les autres ne soient pas d'accord avec nous. C'est cela la DEMOCRATIE et non envoyer en prison les opposants qui vous critiquent. L'équipe de TSYB-2011 et moi<br /> même ferons bon usage de ce qui est objectif dans votre commentaire. Pour le reste, LA LUTTE CONTINUE!!!!!!!!!!!!<br /> Bonne Année 20010 à vous.<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> Chère Madame YEMADRO AVLESSI JOSIANE<br /> Malheureusement vous avez laissé une fausse adresse. Ce qui veut dire que vous n'avez pas le courage de vos critiques envers le Professeur Andoche AMEGNISSE. Nous nous avons le courage de nos<br /> opinions et nous assumons toutes responsabilités. Vous n'êtes pas courageuse et vous voulez faire de la politique avec le Roi Yayi Boni. Vous risquez d'être griller avant la fin de son mandat car<br /> vous entenddrez plus que ça dans les tous prochains jours<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> Bonsoir Madame YEMADRO AVLESSI JOSIANE<br /> Je suis le webmaster du blog du Journal de l’opposition radicale TSYB 2011. Nous vous remercions très chaleureusement pour vos commentaires sur notre blog. C’est de bonne guerre. Veuillez bien<br /> m’excusez pour mes propos mais en attendant que le Professeur Andoche AMEGNISSE vous réponde de façon courtoise à vos propos, je m’autorise de vous dire quelques mots. En effet, pour le respect que<br /> je vous dois, je pense que c’est vous-même en réalité qui est tombée toute nue et tout bas. Cela prouve combien de fois les critiques du Professeur Andoche AMEGNISSE vous touchent énormément et<br /> semblent mettre en mal vos intérêt chez le roi Yayi Boni. A vous lire, il semble que vous êtes en mission mais malheureusement je vais vous révéler des choses qui vont vous clouer le bec.<br /> Vous avez, à travers vos commentaires, traité le Professeur Andoche AMEGNISSE de tous les noms possibles. Mais est-ce que vous vous êtes demandé au moins une fois dans votre vie pourquoi le roi<br /> Yayi Boni n’a jamais traduit le Professeur Andoche AMEGNISSE en justice pour diffamation ? Moi je vais vous le dire ! Parce qu’il dit la vérité et que cette vérité est difficile à entendre mais<br /> c’est la vraie vérité.<br /> Je vous demanderais de prendre le temps pour lire attentivement ceci car cela pourra vous remettre les idées en place<br /> <br /> MEMOIRE DES FAITS<br /> Exposés par le Professeur Andoche AMEGNISSE accusé d’Offense au Chef de l’Etat et de publication d’un Périodique dit Non Autorisé.<br /> A Cotonou, le 03 Décembre 2009.<br /> ___________________________________________________________________________<br /> Quand j’étais encore enfant, mon père m’a enseigné que lorsqu’une puissance très forte cherche à tout prix à vous écraser, vous avez le choix entre fuir ou faire face et combattre. Si vous<br /> choisissez de fuir, vous aurez fait la preuve de votre lâcheté et vous serez néanmoins écrasé. Nous voilà, ce peuple et ce pays dont je suis citoyen, face à un Chef de l’Etat dans les mains de qui<br /> nous avons placé toute la puissance d’un Président de la République afin qu’in en use pour nous sortir des difficultés ; et voilà qu’il préfère en user pour nous écraser. Si je dois aller en prison<br /> ou même mourir pour que d’autres béninois ne soient plus comme moi écrasés par cette puissance présidentielle qui ne laisse exister que ceux qui se plient à sa volonté de dominer et non de<br /> gouverner, je ne demande que deux choses : Que DIEU protège ma femme et mes enfants et qu’il prenne soin de mon âme.<br /> Venons-en aux faits !<br /> Il m’est reproché par Madame le Procureur de la République, d’avoir offensé le Président de la République et d’avoir publié un périodique qu’elle dit sans autorisation. D’abord je suis surpris par<br /> cette citation à comparaître car la seule dame que nous connaissons actuellement au bénin es qualité Procureur de la République a été « nommée Directrice de Cabinet du Garde des Sceaux Ministre de<br /> la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Porte-parole du Gouvernement, par le décret N° 2009-338 du 1er Juillet 2009. Et l’article 2 de ce décret stipule clairement qu’il « abroge<br /> toutes dispositions antérieures contraires. »<br /> Alors les citations à comparaître relatives au même numéro 10 du périodique incriminé et qui me sont adressées en surabondance pour les 04, 09 et 16 Décembre 2009 par cette Madame la ex Procureur<br /> de la République, Directrice de Cabinet suspendue jusqu’à nouvel ordre de cette fonction près du Garde des Sceaux, sont elles des actes judiciaires ou des actes politiques, surtout qu’il est<br /> question d’offense au Président de la République, celui qui nomme par décret Procureur de la République aussi que Directeurs de Cabinet des Ministres ? La question est essentielle autant que sa<br /> réponse.<br /> Dans tous les cas, la fonction de Président de la République est hautement politique et celui qui l’occupe est ou devient nécessairement un homme politique aussitôt qu’il occupe cette fonction. Or<br /> je suis moi aussi un homme politique et les citations à comparaître me convoquent devant la justice es qualité Leader de l’opposition TSYB-2011. Cela veut TOU SAUF YAYI BONI EN 2011 et cela<br /> s’appelle l’opposition radicale. Quand deux hommes politiques comme le Chef de l’Etat et son Opposant le plus radical se retrouvent face à face et se parlent en tête à tête, aucun citoyen, juge,<br /> magistrat ou même Procureur de la République n’est généralement présent pour entendre ce qu’ils se sont dit.<br /> J’ai rencontré le Président Yayi Boni en tête à tête et parlé face à face avec lui pour la dernière fois le Vendredi 31 Juillet 2009, veille de la célébration des 49 ans de l’indépendance du Bénin.<br /> Quelques jours après cet entretien en tête à tête, j’ai publié dans le N° 0008 du mois d’Août 2009 de ce même périodique incriminé un article intitulé : « YAYI BONI OFFRE TROIS CENT MILLIONS DE<br /> FRANCS A ANDOCHE AMEGNISSE POUR TRAHIR ABDOULAYE BIO TCHANE. » ; titre paru d’ailleurs à la une. Pourquoi le Président de la République ne s’est-il pas senti offensé en ce moment là ? Pourquoi le<br /> Procureur de la République ne m’avait-il pas assigné à comparaître en ce moment là pour offense au Chef de l’Etat ?<br /> Pour la stricte manifestation de la Vérité, il faut que Monsieur Yayi Boni, Président de la République qu’on me dit avoir offensé vienne devant ce Tribunal révéler ce que nous nous sommes dits au<br /> cours de notre dernière rencontre et nous expliquer en quoi l’article l’accusant d’avoir tenté de me corrompre n’est pas pour lui offensant et que celui publiant sa photo en train de dormir<br /> publiquement à une grande réunion l’est ? Une affaire en cache une autre dans cette accusation d’offense au Chef de l’Etat et nous devons remonter plus loin, à l’origine, en énumérant les faits. Le<br /> juge en a besoin pour former son intime conviction et ne pas sanctionner uniquement pour donner satisfaction au Président de la République.<br /> Les risques qu’une accusation aussi grave que l’offense au Président de la République fait peser comme l’épée de Damoclès sur la tête du simple citoyen ayant refusé de se laisser corrompre par son<br /> Chef de l’Etat et usé de sa liberté de conscience pour critiquer durement sa présence sur une photo dormant publiquement à une grande réunion oblige une justice qui se veut exemplaire à rechercher<br /> la Vérité, Toute la Vérité et rien que la Vérité.<br /> Si je dois aller en prison, je voudrais que ce soit pour la Vérité et non pas uniquement pour donner satisfaction au Président de la République. Nous sommes un Etat de droit. Et dans un Etat de<br /> droit où l’autorité doit s’appuyer sur la loi et non sur l’arbitraire, la JUSTICE doit rechercher la Vérité pour bien appliquer la loi. Le Chef de L’Etat incarne la Haute Autorité. Il doit mieux<br /> que tous s’appuyer sur la loi et non sur l’arbitraire lorsqu’il choisit de se prévaloir d’avoir été offensé.<br /> Au mois de Janvier 2009, pendant que j’étais en prison, mes partisans de l’opposition TSYB-2011 ont fait paraître le numéro 0004 du même périodique avec en manchette le grand titre : « YAYI BONI<br /> ENVOIE FRANCOIS TANKPINOU CORROMPRE L’EPOUSE DU PROFESSEUR ANDOCHE AMEGNISSE. » Pourquoi le Président Yayi Boni ne s’est-il pas senti offensé lorsqu’on lui a apporté cette parution ? Puisqu’il m’a<br /> montré toutes ces parutions lors de notre dernière rencontre. Mieux, les autorités pénitentiaires agissant sur ordre du Régisseur m’avaient fait comparaître devant une commission militaire pour<br /> m’expliquer sur cette parution. J’ai fait des déclarations qui avaient été consignées dans un rapport. Curieusement, aucun Procureur ne m’a fait comparaître à cette occasion devant un juge.<br /> Pourquoi ? Et qu’est devenu le rapport de mon audition sur cette affaire ?<br /> Je demande au Tribunal de convoquer pour l’entendre le Régisseur de la prison et de se saisir de ce rapport pour mieux comprendre certains comportements du Chef de l’Etat qui m’opposent réellement<br /> non pas à sa personne, mais à la manière dont il assume sa haute charge qui requiert honneur et probité. Je demande au Tribunal de convoquer monsieur François Tankpinou pour qu’il vienne dire si<br /> monsieur Yayi Boni ne l’a jamais envoyé corrompre mon épouse.<br /> Au mois d’Avril 2009, pendant que j’étais encore prisonnier politique, j’étais tombé malade et avais été hospitalisé au CNHU de Cotonou où j’ai été attaché au lit d’hôpital par le pied avec des<br /> menottes. Les journalistes scandalisés ont réagi à travers leurs médias et je leur rends grâce pour leur travail de veille citoyenne. Monsieur Yayi Boni avait alors donné des instructions à son<br /> ministre monsieur Nicaise Fagnon de me contacter, ce qu’il fit. En réponse, je lui ai envoyé une lettre confidentielle que mon épouse lui a remis main à main à son ministère. Quelle mission<br /> monsieur Yayi Boni avait-il confié à monsieur Nicaise Fagnon ? Que s’est-il passé par la suite ? Pour la stricte manifestation de la Vérité, il vaudrait mieux que ce soit monsieur Nicaise Fagnon<br /> lui-même qui vienne le dire devant le Tribunal à qui je demande de le convoquer à cet effet à se présenter avec la lettre en question.<br /> Venons-en au fameux numéro 10 de ce périodique. On m’accuse d’y avoir publié la photo du Chef de l’Etat dormant publiquement à une grande réunion avec en dessous le commentaire « Yayi Boni ivre ».<br /> Mais il faudrait se demander aussi où j’ai trouvé cette photo, puisque je ne suis pas photographe. Cette photo en effet, je l’ai reçu des mains de monsieur Victor Topanou à l’époque où i<br /> <br /> <br />
Répondre